My co-author John has very decently been sent a review of our book on uilleann pipers from a french magazine. Neither of us are much good at languages. John likes to share reviews on his social media pages. Anyone here fancy translating a few phrases from it into English for us before he does so?
The Wheels of the World
– 300 years of Irish
uilleann pipers
A la vue de pareil titre, on
ne peut qu’être
enthousiasmé. Mais au
moment de l’ouvrir point
une certaine appréhension,
car ce type d’ouvrage est
parfois rébarbatif. Eh bien,
pas de souci avec cette
brique très agréable ! Pas besoin de suivre une ligne
toute tracée, car les seize chapitres vous permettent de
choisir, de plonger directement à la découverte de
Séamus Ennis, Willie Clancy, Leo Rawsome, John Doran,
Paddy Keenan, Liam O’Flynn (de Planxty), des
cornemuseux de l’Ulster …
En outre, chaque chapitre est très clairement formaté,
avec des commentaires de diverses personnes
(cornemuseux et autres) imbriqués dans le texte. On
trouve facilement les passages qui nous intéressent le
plus.
Ainsi on découvre que Séamus Ennis, lorsqu’il jouait des
airs lents, pensait aux mots, à l’histoire racontée sur ces
airs. De même, le chaleureux Willie Clancy conseillait
aux jeunes musiciens d’apprendre la langue gaélique.
Leo Rowsome, dans un enregistrement de 1937, utilisait
constamment les résonateurs au point de faire penser à
un harmonium. Paddy Keenan, né dans une famille de
nomades (à la tradition spécifique), était choqué par la
réaction hostile de certains lorsque, dans un festival, il
prêta sa cornemuse à un jeune Noir.
Le plus grand (pas seulement physiquement) est sans
doute Séamus Ennis, même s’il est hasardeux de
comparer des musiciens aux styles différents. Unique
par sa présence physique, sa mémoire extraordinaire,
son accumulation de connaissances, sa connaissance
des langues (il connaissait les dialectes régionaux), son
activité de collecteur pour l’Irish Folklore Commission,
ses émissions à la BBC et à la RTÉ, sa capacité tant à
charmer qu’à ennuyer les gens … Il disait qu’il tenait
son style de son père, qui lui jouait de la cornemuse
pour l’endormir lorsqu’il était petit !
Ce hobby solitaire, exigeant et coûteux séduit
actuellement de plus en plus de musiciens, qui ont
l’avantage d’accéder assez facilement à de nombreuses
sources. Bien que, comme nous le révèle l’imposante
discographie, le projet de sortir deux cd et deux dvd de
Séamus Ennis reste encore et toujours un projet …
Et puis, il y a John McSherry, le talentueux piper dont
nous vous avons déjà présenté plusieurs cd. Il a
participé à la rédaction du livre, et a son propre
chapitre, à juste titre. On trouve aussi en fin d’ouvrage
les transcriptions de 25 airs (traditionnels ou de sa
plume) de son répertoire, avec indication des
ornementations.
Une très belle et intéressante réalisation donc, avec en
couverture une photo de Séamus Ennis et Jean Ritchie
en 1952.
Marc Bauduin
hubert rawlinson says
Think he likes it
Jed Clampett says
I’ll just let the funky music do the talking, talking.
Pilleus Jr says
I also thinks he likes it. I dropped French after second year in 1979, so I’m a bit out of practice, but I’ve tried to make sense of the first half.
“At the vista of this title, we can pout with enthusiasm. But the moment of opening our points gives us apprehensive curtains, because opening them in a car is perfectly barbaric. Ah well, pass us the sauce to have with this agreeable brick! Pass again a sugared line of toot from Tracey, since the seized up chapters we have been permitted to choose by the plonker of a director allows us to discover Seamus Ennis, Willie Clancy, Leo Rawsome, John Doran, Paddy Keenan, Liam O’Flynn (of the de Planxty family) are Ulster curmudgeons!
From the outset, each chapter has three clear formats, with commentaries by personable divers (corny and autistic), bricking it in the text. A trove of facile passages which interests our pulse.
We also discover that Seamus Ennis lordly plays the air of lentils, pencils and mottos, a history of racoons in the air. Miming, the chalet-dwelling Willie Clancy counsels yellow musicians to append a Gaelic languor. Leo Rowsome, in his registration year of 1937, constantly used resonators to the point of fearing to buy a harmonium. Paddy Keenan, born to a family of nomads (a specific tradition) had a bad reaction to chocolate of certain lot during a festival, causing his cornrows to go yellow and black.”
Hope that’s of some help – sorry again if I’m a bit rusty.
Pizon-bros says
Looks french to me.